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Aurevoir mamie, je t'aime très fort...

Il était une fois une petite fille. Cette petite fille avait une famille, des grands parents dont il ne restait plus que la grand-mère. Tous les jours mamie venait la chercher à l’école, l’aidait pour ses devoirs puis elles jouaient ensemble. Soient elles faisaient des puzzles, et elles étaient contentes quand elles trouvaient une pièce en une heure. Ou elles jouaient au triomino, toutes les deux.
Cette petite fille a grandit, mais rien ne changeât, après les cours elle allait voir sa mamie. Sa grand-mère lui disait qu’elle était mal coiffée et qu’elle n savait pas s’habiller, mais elles s’adoraient toutes les deux. Elles partaient en vacances, et leurs soirées étaient à faire des réussites ou le triomino. L’après midi à regarder derrick ou arabesque, et si jamais la petite fille venait à tousser, elle se retrouvait avec des cataplasme sur le torse et le dos… Quand elles e baladaient, c’était la mamie qui traitait la petite fil de fainéante car elle était fatiguée de marcher bien avant sa grand-mère. Mais ce n’était pas grave, elle l’aimait quand même.

Cette grand-mère lui offrait même ses études supérieures. Car elle jugeait qu’elles étaient intéressantes. Mais voilà, un jour cette grand-mère mourut. Elle était malade, et avait perdu bien de sa vitalité. Et son état avait empiré, jusqu’au jour ou on annonça à la petite fille devenu grande que sa mamie adoré était morte dans la nuit. Que cette grand-mère avait tout lâché, qu’elle avait abandonné l combat contre sa maladie… Cette mamie si forte, si vive, si butée avait abandonné…
Combien de temps la petite fille pleura… Pendants des jours, elles avait mal au cœur, ne concevait pas de rentrer des cours sans passer voir sa mamie, pour lui raconter ce que dise les élèves comme idioties. Elle ne concevait pas de ne pas passer ses samedis ou dimanche avec sa mamie car la grand-mère voulait aller visiter tel coin ou se balader dans telle ville. Elle ne concevait pas que tout ça puisse s’arrêter… Que cette grand-mère ne la regarderait plus partir le matin du haut de sa fenêtre…

Mais cette petite fille pleura, toutes les larmes de son corps.

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